Alexandra Mendès se réjouit de la réforme du système d'immigration
POLITIQUE. La députée fédérale de Brossard–Saint-Lambert, Alexandra Mendès, appuie la réforme du système d'immigration qui favorisera le processus de réunification familiale des immigrants.
Destiné à apporter des modifications au processus et aux délais de traitement des demandes d'immigrations, ce projet de loi permettra aux citoyens et aux résidents du Canada d’accueillir plus rapidement et plus facilement leurs époux et/ou conjoints de fait étrangers.
«Nous reconnaissons l’importance d’avoir un système d’immigration efficace et sécuritaire, tout en privilégiant une approche humaine lorsqu’il s’agit de familles et de collectivités», a déclaré Alexandra Mendès.
Le ministre de l'Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté, John McCallum, a amorcé plus tôt cette année la réduction du délai de traitement des demandes d'immigration. Le délai a ainsi été réduit de 15% pour les demandes présentées au Canada et d’un peu plus de 10% pour celles présentées à l’étranger.
À partir du 7 décembre, le délai sera encore considérablement réduit puisque la majorité des demandes de parrainage seront traitées en 12 mois. Actuellement, la moyenne du délai de traitement est de 26 mois pour les demandes déposées au Canada et de 18 mois pour les demandes provenant de l'extérieur du pays.
Plus de 64 000 demandeurs devraient bénéficier de ces nouvelles mesures au cours des prochains douze mois. Le ministre a également annoncé une nouvelle trousse de demande simplifiée, ainsi que de nouveaux guides d’utilisateur plus simples, qui seront disponibles à partir du 15 décembre.
«Dans une circonscription aussi diversifiée que la nôtre, ce n’est pas surprenant que nous ayons actuellement plus de cent cas d’immigration actifs, indique Mme Mendès. Depuis l’ouverture du bureau l'an dernier, nous avons connu plusieurs familles qui connaissent des défis importants quant au système d’immigration. Je suis particulièrement encouragée par ces modifications, car je sais ce que cela signifie pour ces familles qui attendent patiemment d’être réunies.»