Crimes anciens : d’autres cas seront traités par la police de Longueuil
À la suite de la résolution récente du meurtre de Sharron Prior survenu en 1978, le Service de police de Longueuil soutient que d’autres cas pourront peut-être être résolus grâce aux améliorations en matière d’identification d’ADN.
«Pour pouvoir bénéficier des avancées technologiques en matière d’ADN, il faut qu’il y ait eu conservation des pièces à conviction et donc, de présence d’ADN dans le dossier, indique le SPAL dans un courriel envoyé au Courrier du Sud.
«Et certains de nos dossiers d’homicides non résolus comportent effectivement ces éléments. Alors nous comptons bien utiliser ces technologies dans plusieurs de nos dossiers», précise l’agent relationniste François Boucher.
Rappelons qu’un documentaire sur la résolution du meurtre de Sharron Prior, Ne repose pas en paix / Don’t rest in peace est présentement diffusé sur la plateforme Crave. Ce film sera diffusé sur Noovo le vendredi 2 juin à 21 h.