Actualités

La restauration de la cocathédrale bénéficiera d’une aide de 600 000$

le vendredi 27 octobre 2023
Modifié à 8 h 52 min le 26 octobre 2023

Cet été, des architectes ont inspecté le dôme à bord d’une nacelle afin d’effectuer le carnet de santé de la cocathédrale. (Photo: Gracieuseté – Michel Cayer)

Une somme de 600 000 $ servira à la deuxième phase de la restauration du dôme et de la fenestration de la cocathédrale Saint-Antoine-de-Padoue à Longueuil.

Ce montant fait partie de l’enveloppe totale de près de 35 M$ accordée par Québec pour deux programmes du Conseil du patrimoine religieux du Québec pour l’année 2023-2024. 

«Cette initiative de notre gouvernement témoigne notre engagement envers ce joyau architectural et envers la préservation de notre patrimoine culturel et religieux, afin que la cocathédrale ne perde pas de sa splendeur et continue d’être un lieu de rassemblement», a exprimé la députée de Marie-Victorin Shirley Dorismond, qui a annoncé cette aide au nom du ministre de la Culture et des Communications, Mathieu Lacombe.

«Depuis plusieurs années, nous avons pu restaurer la cocathédrale Saint-Antoine-de-Padoue grâce à de généreuses subventions. C’est toute la vie de notre communauté qui peut s’y animer, autant par le culte que par des activités culturelles et communautaires», a relevé Benoît Laganière, président d’assemblée de fabrique de la Paroisse Saint-Antoine-de-Padoue.

(Photo gracieuseté)

En juin 2022, une aide de 420 000$ avait été accordée pour la cathédrale de l’arr. du Vieux-Longueuil.

Au Conseil du patrimoine religieux du Québec, le Programme visant la protection, la transmission et la mise en valeur du patrimoine culturel à caractère religieux représente une aide financière de 20 M$. Il permet de financer jusqu’à 80% des coûts des projets. 

Le Programme visant la requalification des lieux de culte excédentaires patrimoniaux représente quant à lui une aide financière de 13,36 M$.  

Après avoir complété une imposante restauration intérieure de la cocathédrale, la paroisse s’attaque à la restauration extérieure au bâtiment patrimonial, qui s’échelonnera jusqu’en 2025. (A.D.)