L'Aéroport et son futur terminal : encore de vives inquiétudes
La Coalition Halte-Air ne s’est pas montrée impressionnée par le récent Plan de durabilité environnementale du Aéroport métropolitain de Montréal (MET) et par ce qui entoure le futur terminal, dont l'ouverture est prévu à la fin 2025. Dans un long entretien, elle insiste sur de nombreuses préoccupations qui demeurent à ses yeux sans réponse, concernant tant la pollution sonore qu’atmosphérique, ainsi que la viabilité et la pertinence de la zone d’innovation. Mais d’abord, le trafic aérien, actuel et à venir.
Nouveau terminal du MET : Trafic aérien fluctuant
(Photo: Le Courrier du Sud - Archives)
Le nombre d'avions circulant au-dessus de nos têtes sera inéluctablement croissant, s'inquiète la Coalition. Non seulement le MET mettra en opération une nouvellle aérogare d'une capacité de quatre millions de passagers, mais le terminal de JB Aviation y est ausis en construction. Lire la suite.
Pollution des avions : « C’est un sujet fondamental, mais personne ne veut en parler » – la Coalition
(Photo: Le Courrier du Sud - Archives)
Même si les Embraer E192-E2 de Porter Airlines sont parmi les avions «les plus économes en carburant sur le marché» selon le MET, émettant la moitié du CO2 que produit un Airbus 330, la Coalition Halte-Air Saint-Hubert s'inquiète fortement de la pollution atmosphérique générée par les activités de l'aéroport, notamment à cause de l'émission de particules ultrafines. Lire la suite.
Pollution sonore du futur terminal : la Coalition exige des normes plus sévères
(Photo : gracieuseté)
Avec le trafic aérien vient forcément... le bruit. La Coalition Halte-Air Saint-Hubert craint que la pollution sonore qu’engendrera le nouveau terminal, tout comme ses risques pour la santé, soient sous-estimés. Lire la suite.
Terminal de Porter Airlines et zone d’innovation : des craintes financières
(Photo: Le Courrier du Sud - Archives)
La Coalition Halte-Air Saint-Hubert n’a pas partagé l’enthousiasme du milieu politique et des affaires lors du dévoilement de la zone d’innovation dont Longueuil fait partie. Les difficultés financières que vit le milieu de l’aviation suscite à ses yeux de «gros doutes» sur la viabilité du projet sur a Rive-Sud, d’autant plus que de l’argent public est impliqué. Lire la suite.