L’agent Ghyslain Vallières décède des suites d’un arrêt cardio-respiratoire
Ghyslain Vallières, agent à la Section des communications et relations médias du SPAL, est décédé, ce 17 juillet. Il était âgé de 55 ans.
L’agent Vallières était hospitalisé depuis hier à l’hôpital Charles-Le Moyne à la suite d’un arrêt cardio-respiratoire. Il est décédé un peu avant minuit, aux soins intensifs.
Il laisse dans le deuil sa conjointe et ses trois filles. Sa famille était à son chevet «lorsque son décès a été confirmé par les médecins qui tentaient de lui sauver la vie», affirme le SPAL.
«Sa disparition soudaine nous bouleverse et nous touche profondément», exprime le service de police.
«Nos pensées vont à sa famille et à ses proches en ces moments difficiles. Nous nous souviendrons de Ghyslain pour son dévouement, sa gentillesse et son professionnalisme au sein de la Grande famille du SPAL», ajoute-t-il.
En tant qu’agent de la section des communications, Ghyslain Vallières était très connu pour ses interventions médiatiques, et ce, au cours des 10 dernières années.
Entré en poste au SPAL en 2002, il a su se montrer «toujours disponible pour défendre les projets de l’organisation et promouvoir le travail de ses collègues, témoigne le SPAL. Préventionniste dans l’âme et reconnu comme l’un des plus brillants communicateurs de toute la scène policière au Québec, Ghyslain laissera un immense vide dans la sphère médiatique provinciale, mais surtout dans le cœur de celles et ceux qui ont eu le plaisir de le côtoyer tout au long de sa carrière.»
Sur les réseaux sociaux, la mairesse Catherine Fournier a décrit l'agent Vallières comme un être «bienveillant, généreux, intelligent, ouvert, toujours disponible».
«Les mots me manquent pour décrire l’être humain d’exception qu’était Ghyslain Vallières, porte-parole du SPAL, qui vient de nous quitter beaucoup trop tôt. La population de l’agglomération de Longueuil lui doit énormément, a-t-elle affirmé. Sa vision axée sur la prévention était empreinte de foi envers la communauté et le dévouement pour le service public était au cœur de son action quotidienne.»