Redécouvrir le parc des Îles-de-Boucherville
Il y a tant d’activités à faire à ce parc provincial qu’il faut pratiquement le fréquenter tout l’été!
Ce chapelet de verdure constitué de cinq îles, façonné par le Saint-Laurent et son riche patrimoine historique, offre un dépaysement assuré à tous les amateurs de plein air et amoureux de nature sauvage. On n’est pas à Montréal ni tout à fait sur la Rive-Sud.
«Marcheurs, cyclistes et canoteurs y viennent pour respirer l’air pur, pour fuir les bruits de la ville. D’autres feront une incursion dans le temps à la découverte des premières nations ayant fréquenté les îles du parc, affirme la direction du parc du son site Web. D’autres feront une incursion dans le temps à la découverte des premières nations ayant fréquenté les îles du parc.»
Le terrain de jeux du parc des Îles-de-Boucherville s’étend sur 8,14 km carrés. Petits et grands ont de quoi s’amuser; randonnées pédestres, jeux d’eau, kayak, canot, planche à pagaie, vélo, pique-nique, pédalo, pêche, volleyball sur sable, etc. On peut louer de l’équipement en cas de besoin.
L’entrée journalière est au tarif de 9,25$ par adulte. Il est fortement recommandé d’acheter son billet en ligne, à l’avance, puisque le nombre de visiteurs pouvant accéder au parc national dans une même journée est limité. C’est gratuit pour les moins de 18 ans.
Si le temps manque ou que les visiteurs ont envie de prolonger le plaisir, ils peuvent faire du camping sur place à condition d’avoir réservé un emplacement pour leur tente ou leur véhicule récréatif. Une offre de prêt-à-camper est aussi proposée.
Interprétation
Tous les parcs nationaux ont pour mission l’éducation et le parc national des Îles-de-Boucherville ne fait pas exception. L’interprétation des richesses naturelles et culturelles du parc se fait de deux façons: autonome grâce à des panneaux de découverte ou en compagnie de gardes-parcs naturalistes passionnés et experts de leur territoire.
Plusieurs sentiers sont aménagés, tant pour les cyclistes que les marcheurs. (Photo gracieuseté – Béatrice Duquette)