Solar Uniquartier : la nouvelle école sera prête pour la rentrée 2026
Plusieurs personnes ont assisté le 10 mai à la pelletée de terre de la future école primaire située à l’intersection du boulevard du Quartier et rue de Châteauneuf, à Brossard. (Photo : Le Courrier du Sud – Tristan Ouimet)
Une nouvelle école primaire verra le jour pour la rentrée scolaire 2026 à l’intersection du boulevard du Quartier et de la rue de Châteauneuf, à Brossard.
Représentant un investissement de 45,2M$, ce futur établissement scolaire de trois étages pourra accueillir 650 élèves répartis dans 32 classes de la maternelle 4 ans, la maternelle 5 ans et de la première à la sixième année.
Cette école inclura également un gymnase double, une classe d’art, une classe de musique, un local de cuisine, une bibliothèque, une salle polyvalente avec un espace de scène et des espaces collaboratifs.
Des arbres et de la végétation seront plantés autour de l’école.
«C’est un réel bonheur et c’était un besoin criant, a mentionné Doreen Assaad, mairesse de Brossard, à la pelletée de terre officielle de la future école, le 10 mai. C’est un très beau projet d’avenir pour toute la communauté de Brossard et des environs!»
À la séance du conseil municipal le 19 mars, le conseiller Christian Gaudette avait indiqué que cette future école allait «combler la demande croissante» dans les secteurs C et E.
Il avait ajouté que l’école Marcelle-Gauvreau, sur la rue de Châteauneuf était à «capacité maximum».
Pour l’instant, seulement une partie de la base de l’école est construite.
Un aperçu actuel de la future école primaire. (Photo : Le Courrier du Sud – Tristan Ouimet)
Le Groupe CIBS sera l’entrepreneur du projet.
Une école secondaire à venir?
À l’assemblée municipale de mars, M. Gaudette avait aussi fait mention de la potentielle construction d’un établissement scolaire pour le secondaire près de la future école primaire.
Ce 10 mai, le conseiller a indiqué que la Ville de Brossard a réservé un terrain près de la future école primaire pour un futur projet de la sorte.
La Municipalité doit toutefois avoir l’accord du Centre de services scolaire Marie-Victorin et de Québec pour poursuivre ses démarches, a-t-il conclu.